« Le saut »

Cette pratique peut s’appliquer lorsque la particule transmettant l’interaction est le Z0, le photon ou le boson H. En effet, dans ce cas, la nature des particules élémentaires qui interagissent avec cette force  n’est pas modifiée par l’interaction.

 Le joueur qui a posé ce type de force peut simplement déplacer les cartes de départ et les mettre à la place des cartes marquées du point d’interrogation afin de compléter la quinte.

Nous appelons « le saut » cette opération.

L’idée  de base du jeu étant de se débarrasser de ses cartes, le joueur peut également, s’il en a la possibilité, ne pas utiliser « le saut » et poser à la place une carte de sa main.

Un quark « up » a été tiré dans chacun des deux protons. Lors de la première étape, la carte du Z0 est posée pour réaliser l’interaction. Les rectangles vides indiquent les deux cartes manquantes. Les cercles entourent les deux brelans.

Comme la force ne change pas la nature des deux particules initiales, il suffit de déplacer les cartes correspondantes (en suivant les flèches) qui deviennent ainsi les deux particules résultant de l’interaction.

Lors de la dernière étape, on retourne la carte du Z° qui a terminé son rôle de médiateur et on aligne verticalement les deux cartes finales résultant de l’interaction.

« Le saut » permet en partie d’éviter les limitations dues au fait qu’il n’existe qu’un exemplaire de chaque constituant élémentaire dans le jeu.